VOILÀ
« Je voulais que nos danses puissent traduire nos révoltes ; qu’elles soient individuelles ou collectives, structurées ou chaotiques » – Théophile Bensusan
En diffusion

Doom plonge dans un monde suspendu entre fiction et réalité, dans lequel le temps n’a plus de prise ou peu, ou trop.
En création
J A R D I I N
À travers ce solo, deux disciplines se rencontrent : la danse et la manipulation du nunchaku — un fléau à deux branches utilisé dans plusieurs arts martiaux tels que le karaté ou le kung-fu. Théophile B. se réapproprie cet objet en détournant son intention première, traditionnellement liée à la défense ou à l’attaque. En l’absence d’adversaire — réel ou imaginaire — l’objet se transforme : une valse avec l’arme blanche naît et le nunchaku devient l’extension d’un corps qui danse.
