Après deux pièces de groupe, Théophile B. se lance dans la création d’un seul en scène, porté par l’envie d’affirmer et de partager une vision, une atmosphère ainsi qu’une écriture chorégraphique. Il emmène avec lui les musiciens Mathieu Boudon et Lucas Desmottes qui étaient présent sur la création Doom.
À travers ce solo, deux disciplines se rencontrent : la danse et la manipulation du nunchaku — un fléau à deux branches utilisé dans plusieurs arts martiaux tels que le karaté ou le kung-fu. Théophile B. se réapproprie cet objet en détournant son intention première, traditionnellement liée à la défense ou à l’attaque. En l’absence d’adversaire — réel ou imaginaire — l’objet se transforme : une valse avec l’arme blanche naît et le nunchaku devient l’extension d’un corps qui danse.
Solo
Durée : 30 minutes
Chorégraphie et interprétation : Théophile Bensusan
Musique : Lucas Desmottes
